dans mon chapeau
toujours pas de lapin
quelques cerises
au hasard du stop
il me parle encore
de cerises
son parfum
au coeur des raffineries
l'olivier de bohême
(à fos sur mer)
recroquevillé
la nuit si vaste
au delà
aux pieds du lit
la nuit étale
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magnifique ce recroquevillé là
le haiku nous permet d'écrire
l'inénarrable...
Bien à toi
Phil
Rédigé par : achourit12 | 13 mai 2008 à 12:28