une sieste au bord du vide....
risée de vent
dans mon rêve s'invite
le carillon
un ciel noir
veillant
sur ma rêverie
pris au piège
des bourrasques de pluie
un oiseau noir
avant la fureur-
du ciel ne descendent
que des silences
cerf volant blanc
et mouettes- jouant
sous le ciel d'orage
seul
dans le grand silence
de l'orage
plus rien
au delà
de ces murs
le vent-la pluie
ma cabane perdue
juste en dessous
Rien n'est comparable à ces grands orages d'été...
Des mots simples au bord du vide.:)
Rédigé par : Aicha | 13 juillet 2008 à 11:42
une belle suite où le vide a la première place...
bien à toi
papy
Rédigé par : quinta | 13 juillet 2008 à 13:37