parfois, un rien, un presque rien, suffit a provoquer un basculement complet de l'esprit , une sorte "d'ouverture".....les adeptes du zen le nomment "satori" , d'autres parleront de grâce peut être...peu importe, ce n'est rien......
sans vent
sans personne
tinte la clochette à vent
je marche au matin, la lumière rasante du soleil éclaire quelques aigrettes venues boire dans les prés encore gorgés d'eau.....
où s'arrête le chemin
mes pas
suffisent à eux même
Votre premier poème est radical :
"sans vent"
"sans personne"
Bel hymne au silence...
Rédigé par : unevilleunpoeme | 13 janvier 2009 à 15:48